Le Mans 66, critique
Un bon artisan, deux acteurs impeccables, une course automobile légendaire qui sent l’huile et l’essence, voilà les ingrédient d’une belle réussite à l’ancienne avec Le Mans 66.
Un bon artisan, deux acteurs impeccables, une course automobile légendaire qui sent l’huile et l’essence, voilà les ingrédient d’une belle réussite à l’ancienne avec Le Mans 66.
Il y a eu pas mal de sorties ciné des dernières semaines. Forcément avec les vacances et l’approche des Oscars ! Mais en dehors de Dragons 3, qu’y a-t-il à voir au ciné … ou sur Netflix ? Passage en revue de Vice, Green Book, Lego 2, La Favorite et Velvet Buzzsaw.
Après plusieurs mois d’attente et de reports, la version du Livre de la Jungle par Andy Serkis est enfin disponible, directement sur Netflix. Et ce Mowgli est une belle et sombre réussite.
Christian Bale refait équipe avec Scott Cooper pour Hostiles, un western contemplatif, une balade mortelle en territoire indien qui prend son trop son temps mais offre tout de même de beaux sujets de discussion.
Le grand Ridley Scott retourne au péplum en s’attaquant à la mythique histoire de Moïse, des 10 plaies d’Egypte et du passage de la Mer Rouge. Exodus – Gods and Kings, est aussi l’occasion pour lui de rendre hommage à son frère, mais ce sera peut-être pour la version longue.
Après la Valse des Pantins, Carlotta nous gâte ce mois de mai avec un autre film culte. Cette fois il est temps de célébrer le glam rock avec Velvet Goldmine.
Casting cinq étoiles et retour dans les 70’s forcé pour la nouvelle arnaque du réalisateur chouchou des critiques américaines, David O’Russell, avec l’insupportable American Bluff.
Avec les sorties de American Bluff et les Brasiers de la Colère, sans oublier la barbe de Moïse qu’il laisse pousser pour l’Exodus de Ridley Scott, 2014 sera une nouvelle année bien remplie pour Christian Bale. L’occasion de revenir sur 5 rôles qui ont marqué sa carrière.
Bienvenue dans les difficultés de l’Amérique ouvrière. Christian Bale bien entouré va devoir subir les Brasiers de la Colère, tendu et noir mais sans grande surprise.
Avec la sortie de the Dark Knight Rises, impossible de ne pas revenir sur le précédent volet de la trilogie de Christopher Nolan. Après avoir parlé de Batman Begins, reparlons de The Dark Knight, du légendaire Joker et de cette parabole dense sur la paranoïa américaine.
Voilà , enfin, Christopher Nolan donne livre la conclusion de son interprétation de Batman avec The Dark Knight Rises. Un final impressionnant et dense qui manque tout de même d’un supplément d’âme pour briller de tout son éclat.
Avec la sortie immanquable de The Dark Knight Rises, impossible de ne pas revenir sur le premier volet de la trilogie Batman de Christopher Nolan : Batman Begins.