Culte du dimanche : les Indestructibles
Quoi qu’il arrive, un Pixar est forcĂ©ment culte, mais il y en a auxquels on s’attache plus facilement. Et quand on est fan de super-hĂ©ros, Les Indestructibles est forcĂ©ment incontournable.
Quoi qu’il arrive, un Pixar est forcĂ©ment culte, mais il y en a auxquels on s’attache plus facilement. Et quand on est fan de super-hĂ©ros, Les Indestructibles est forcĂ©ment incontournable.
Pas grand chose à se mettre sous la dent, mais le peu de bande-annonce qui ont circulé sur le net cette semaine sont tout de même assez énormes. Pour preuve, nous avons Jack Black, un grand voyage, des filles avec des flingues pour Zack Snyder, une comédie romantique avec Natalie Portman et une autre comédie très sex avec Justin Timberlake.
Pour la sortie remasterisĂ©e des Ĺ“uvres de Dario Argento mercredi dernier, WildSide et le Club de l’Étoile ont organisĂ© pour halloween une soirĂ©e spĂ©ciale sous le signe du maitre de l’horreur italienne. L’occasion pour moi de dĂ©couvrir 4 de ses films, et pas des moindres : L’Oiseau au Plumage de Cristal, Le Chat Ă Neuf Queues, Tenebres et Phenomena.
Après le week-end de la Toussaint, période la plus meutrière sur les routes, on peut se tourner vers le cinéma pour répondre à la question : qu’est ce qui est plus meurtrier qu’un crash d’avion, qu’un spectaculaire accident de la route, qu’un grand huit fou ? La réponse dans DESTINATION FINALE 4.
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Cabrioles scatologiques et grand huit de la puérilité, mais surtout aventure cinématographique éprouvante, Jackass en résumé c’est cela. Un mélange de cascades, de défis d’adolescents attardés cherchant à se prouver qui sera le plus taré, le plus scientifiquement dérangé prêt à mettre sa vie en danger pour parvenir à l’ultime jouissance : faire rire ses potes, parce que l’un a réussi son challenge ou surtout parce que l’autre s’est magnifiquement vautré.
Imaginez-vous enterrĂ© vivant, seul dans une boite sous terre. C’est l’Ă©touffante experience claustrophobe que vous propose Buried.
Doute sur son identitĂ© ou ses envies, l’Homme qui voulait vivre sa vie, laisse un sentiment ambigu Ă la sortie mais nous rappel tout le talent de Romain Duris. C’est dĂ©jà ça.