La Proie, critique
Alors que son Hybrid réalisé aux États-Unis se fait toujours attendre, Eric Valette revient en France pour La Proie. Un projet que l’on sent calibré pour le grand public et c’est bien dommage.
Alors que son Hybrid réalisé aux États-Unis se fait toujours attendre, Eric Valette revient en France pour La Proie. Un projet que l’on sent calibré pour le grand public et c’est bien dommage.
Encore une tentative de cinéma de genre à la française diront certains. Mais dans Djinns, pour une fois, c’est aussi maîtrisé que passionné, ce serait donc dommage de louper ça.