A la Merveille, critique
14/03/2013
Terrence Malick nous emmène A la Merveille pour nous murmurer un nouveau poème sublime dans la forme, plus ronflant dans le fond.
Terrence Malick nous emmène A la Merveille pour nous murmurer un nouveau poème sublime dans la forme, plus ronflant dans le fond.
Après une première partie prometteuse, voilà la suite de nos attentes pour 2013, toujours entre grands spectacles, films d’auteurs et parties de rigolades. Décidément, on ne devrait pas s’ennuyer.