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Whatever Works – la critique

posté le 22/07/2009

whatever works

Vu hier (avec un peu de retard, je vous l’accorde), la cuvée annuelle de Woody Allen, Whatever Works. Comme d’habitude avec Woody, un petit film frais et sans prétentions qui fait du bien.

whatever worksC’est donc l’histoire de Boris Yellnikoff (Larry David), vieux physicien aigri qui a fait une tentative de suicide. Il recueille chez lui la très jeune Melody (Evan Rachel Wood) qui a fuit sa famille et se retrouve seule dans New-York. Il va donc lui donner son point de vue assez sarcastique sur la race humaine, l’épouser et même changer la personnalité de tout l’entourage de la jeune fille.

Après sa tournée européenne avec Scarlett Johansson (3 films en Angleterre et 1 en Espagne), Woody Allen rentre donc à New-York pour nous raconter cette petite tranche de vie avec une nouvelle muse. Des personnages très sympas campés par de bons acteurs, et une histoire vraiment rafraichissante. Evan Rachel Wood est ici complètement à contre-emploi. En effet, on a plutôt l’habitude de la voir dans des rôle dramatiques sérieux (Thirteen, the Wrestler), ici elle joue la petite fille naïve et vraiment blonde. Larry David est lui excellent en vieux aigri qui sort quelques piques vraiment drôles. Pour l’anectode, le film est raconté par Boris qui s’adresse à la caméra, c’est pas une première, mais c’est amené de manière plutôt sympathique. En tout cas, c’est un film vraiment rafraichissant pour l’été.

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