Joy, critique
A la recherche du sujet toujours le plus creux et propice à des scènes de disputes sans intérêt, voici la nouvelle arnaque de David O’Russell, Joy. Il serait temps de passer un coup de balai.
A la recherche du sujet toujours le plus creux et propice à des scènes de disputes sans intérêt, voici la nouvelle arnaque de David O’Russell, Joy. Il serait temps de passer un coup de balai.
Comme à chaque fin de Festival de Cannes, on s’intéresse à une Palme d’Or dans le culte du dimanche et c’est au tour de David Lynch et son road movie Sailor et Lula d’y passer.